Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
journal de jacques
21 juillet 2017

Etats généraux de l'alimentation

Etats généraux de l'alimentation

12les français au bout de cinq ans de macronisme.

 

Le ministre de l'Agriculture, Jacques Mézard, a déclaré mardi « Le niveau des prix n'est pas àl'heure actuelle à un niveau suffisant »,,à l'issue d'une rencontre avec le président de la Fédération des producteurs de lait, Thierry Roquefeuil, alors que les producteurs de lait ont manifesté dans toute la France mardi pour réclamer une revalorisation des prix.

Le ministre a ajouté que « la question du prix payé, du juste prix, sera traitée en priorité » lors des prochains états généraux de l'alimentation.

Sur fond d'envolée des cours mondiaux de produits comme le beurre, les producteurs de lait français ont repris leur mobilisation cette semaine pour demander une revalorisation des prix et de leurs revenus, renvoyant dos à dos transformateurs et distributeurs. 

Onze ministères impliqués et pilotés par celui de l'Agriculture, des ONG et des syndicats, une myriade d'élus et d'experts, une consultation publique par internet, une série de 14 ateliers thématiques qui se déclineront jusqu'en novembre, un discours d'introduction par le premier ministre avec le président en clôture (finalement annulé pour cause de déplacement à Istres pour tenter d'éviter une crise dans l'Armée) Le programme des Etat généraux de l'alimentation n'a rien à envier au grand raout du Grenelle de l'Environnement de 2007.

 

l'enjeu est de mettre un terme à la crise lancinante des prix qui étranglent les paysans, favoriser une chaîne de production durable et équitable, permettre une consommation plus saine et plus respectueuse de l'environnement tout en s'assurant qu'elle demeure accessible au plus grand nombre

Si chacun des acteurs impliqués convient qu'il faut changer le système actuel, le risque d'un dialogue de sourds entre agriculteurs et distributeurs, écologistes et producteurs, acteurs institutionnels et multinationales n'est pas à exclure

Nicolas Hulot se veut optimiste même s'il convient qu'une solution capable de mettre tout le monde d'accord relève du fantasme. "Je fais un rêve: que les Etats généraux de l'alimentation permettent de combiner tous les points de vue"

Un optimisme de volonté en partie partagé par la patronne de la FNSEA Christiane Lambert. "Il y a aujourd'hui un alignement des planètes avec des acteurs économiques qui reconnaissent que le contexte ne peut plus durer", assure la présidente du principal syndicat agricole. L'an dernier, la moitié des agriculteurs ont gagné moins de 350 euros par mois, selon la MSA, la Sécurité sociale des agriculteurs. la conséquence d'une guerre des prix imposée par la grande distribution qui elle aussi perd des plumes dans la course au toujours moins cher.


Je n'ai ni la prétention, ni la naïveté de faire table rase du passé. Je pense simplement qu'une discussion, franche, directe, difficile mais honnête vaut mieux que de mauvais compromis noués sur fond de défiance", a plaidé de son côté le premier ministre Edouard Philippe dans son discours d'introduction.

Entre un ministres de l'agriculture qui n'a aucun pouvoir sans la bénédiction de Jupiter qui est entrain de régler la crise des Armées qu'il a lui même allumé et un premier ministre qui raconte n'importe quoi si je reprends ses paroles «  Je pense simplement qu'une discussion, franche, directe, difficile mais honnête vaut mieux que de mauvais compromis noués sur fond de défiance", »

 

C'est du foutage de gueule à quoi serviront vos états généraux. Temps que l'Europe n'aura pas un SMIC universel et ne taxera pas les produits d'importations des autres pays rien de ce que vous déciderez ne pourras tenir la route. Bien sur vous allez obtenir pour les agriculteurs des prêts de l'Union Européenne mais c'est pas ça que demande ils ne veulent pas d'assistanat Ils veulent simplement vivre de leur travail .

Qu'on m'explique qu'avec une retraite de 1200€ moins 1,7% de CSG c'est certain on ira pas regarder la provenance de tel ou tel légumes mais le prix nous somme made in France quand notre porte monnaie le permet. Sinon nous sommes made international.

 

Comment les agriculteurs peuvent ils concurencer des pays comme l'Espagne ou le taux de main d'oeuvre est la moitié de celui de la France et si on prend le Maroc qui est aussi un pays qui exporte le plus de denrée alimentaire le SMIC est 6 fois moins élevé.

 

Comme 90% des français je fais parti des gens qui ne sont rien donc de ce fait je ne peut pas faire comme l'Etat avoir un déficit à ma banque de 3,5% dommage. Il faudrait un jour si vous en avez le courage Monsieur le Président descendre de votre pied d'estale et d'essayer de vivre la vie des gens qui ne sont rien comme vos l'avez dit peut être si vous êtes pas trop bête vous comprendrez 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité
Archives
Publicité